Les dimanche matin il n’y a pratiquement personne dans les rues enneigé de Tokyo. Seul le vent et le froid sont de sortis. La plus part des humais préfère resté chez eux bien au chaud. Les humais sont des trouillards, ils ne sont pas comme nous, se sont des êtres inférieurs. Nous, les ghoules, nous prendrons un jour le contrôle du monde, et le CCG sera à genoux devant nous! C’est connards de membres su CCG, ils ne paient rien pou attendre!
Je continue de marcher, ruminant des idées noires. Sur mon chemin je bouscule un home d’âge mur, il m’insulte, je résiste à la tentation de le tué. Mais lorsqu’il m’envoya un doigt d’honneur puis d’essayer de me frapper, je craque. J’attrape son bras, le tords et l’emmène dans une ruelle à l’abris des regards indiscrets. Dès que nous sommes seuls, je lui envoie une pluie de coups de pied et de coups de point. Une lueur de folie brille dans mon regard. Soudain mes pupilles devinrent rouges, je sors mon kagune et m’approche doucement de ma victime, je veux la faire souffrir, je veux qu’elle ressente de la douleur. Après lui avoir assener plusieurs coups, je le tue. Je le mange ensuite, je savoure, sentant le sang chaud coulé dans ma gorge.
J’ai encore envie de meurtres, j’ai envie de tué, d’assassiné, de faire souffrir. Alors je sors de la ruelle, mes yeux sont redevenu bleus. Je regarde autour de moi. Des garçons me sourient bêtement ou alors me siffle. Je ne veux pas eux comme proie, je veux une proie plus dur à tuer, je veux un dur à cuire!
Soudain quelqu’un attire mon attention, il à des cheveux blonds. Ce n’est pas un humain, c’est une goule, je le sais… Je ressens comme une obligation, une obligation de le suivre. Alors je le suis, j’avance à pas de loup, ne faisant aucuns bruits. Soudain le blond entre dans une maison, je n’ai pas envie d’entrer… mais ma curiosité prend le dessus. J’entre. Le garçon semble m’attendre. Je plonge mon regard dans le sien puis lui dit d’une voix clair et dénué de toute émotions:
-Qui es tu?